francis delabre
vis d’éternité
« ready for love »
Enfin prête pour l’amour, un soir de juillet elle s’est fait la malle pour l’autre côté.
Je tournais en rond comme un boxeur qui résiste et qui sait que cet uppercut-là va l’envoyer dans le noir.
Le noir est arrivé sans prévenir.
En fait c’était du blanc.
Un beau portrait et une critique sensible dans La Dépêche du Midi du 27 janvier 2013 :
« Vis d’éternité, son récit très autobiographique, retourne le lecteur comme une crêpe : il raconte cette soeur mourante et la vie, l’enfance, le père ingénieur parfumeur et pétomane, l’espoir fou de l’amour et du théâtre, ce lieu de la communion et de l’humanité chancelante. Un bijou. »
Enfin prête pour l’amour, un soir de juillet elle s’est fait la malle pour l’autre côté.
Je tournais en rond comme un boxeur qui résiste et qui sait que cet uppercut-là va l’envoyer dans le noir.
Le noir est arrivé sans prévenir.
En fait c’était du blanc.
Un beau portrait et une critique sensible dans La Dépêche du Midi du 27 janvier 2013 :
« Vis d’éternité, son récit très autobiographique, retourne le lecteur comme une crêpe : il raconte cette soeur mourante et la vie, l’enfance, le père ingénieur parfumeur et pétomane, l’espoir fou de l’amour et du théâtre, ce lieu de la communion et de l’humanité chancelante. Un bijou. »