Maudire le béton, c’est un voyage. Un voyage que l’on prépare en laissant ses valises sur le pas de la porte. Un retour au vide, désertique, où l’on se rend compte que les choses les plus importantes ne tiennent pas dans un sac à dos. Mais glissent entre les doigts. La fugacité de moments attrapés. Fragiles.
Ne rien bétonner.
Maudire le béton est une déclaration d’amour sur fond de désert brûlant. Des bribes, une profession de foi, un manifeste. Manifeste.